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conversation m’a amené à exprimer. Mon père pense qu’il y aurait peut-être quelque intérêt à placer, à la suite du recueil des poésies de Madame Valmore, quelques pièces de vers sorties de la main de sa fille, Madame Langlais, et qui ne sont pas indignes de figurer à côté, ou du moins à la suite, comme je le disais, des compositions de ma mère. M. Ste Beuve faisait quelque cas de l’esprit et du sentiment poétique d’Ondine ; il en a parlé avec bienveillance dans la préface des Pleurs et aussi, je crois, dans son article du Temps. C’est à vous, cher