et je ne désespère pas de réussir à les rendre plus raisonnables.
Il faut que je te raconte un incident dont j’ai eu lieu de me réjouir.
Je me promenais le dimanche 1er novembre avec un ami près de Vincennes, lorsqu’un vieux monsieur, à l’air fort respectable, qui marchait seul devant nous, tomba tout à coup en faiblesse. Il n’y avait personne pour nous aider. Nous l’étendîmes sur un banc, je lui frappai la paume des mains, tandis que mon ami défaisait son col pour lui permettre de respirer plus à l’aise ; mais le vieillard restait toujours inerte. Nous étions fort perplexes. Par bonheur vient à passer un fiacre vide ; nous nous y installons, tant bien que mal, avec notre pauvre malade, et quelques minutes après nous arrivons à Vincennes. Nous le