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Paris, 16 novembre 1891.
Mon cher père,
Je ne suis pas, tu le sais, de ces jeunes gens qui, tenant leurs parents pour de pauvres vieux radoteurs, rejettent systématiquement leurs avis, et n’en font qu’à leur tête. Loin de là, j’attache la plus grande importance aux excellents conseils que tu me donnes, et je m’efforce d’en profiter.