côté, en un mot, tu capitalises, et je t’approuve fort. Eh bien ! ta place n’est pas plus dans un club de communistes que dans un club d’anarchistes, mais dans une société de prévoyance ou de secours mutuels. Voilà des associations que je te recommande, parce qu’elles sont utiles et salutaires.
C’est un tort de te vanter d’avoir, en compagnie de libres penseurs, fait un mauvais parti à ces pauvres fous qu’on appelle les Salutistes. Tu ne t’es pas montré, permets-moi de te le dire, plus sensé dans ton genre qu’eux dans le leur.
Voyons, soyons logiques. Si tu veux la liberté pour toi, il faut la vouloir pour les autres. Chacun a le droit d’adorer Dieu à sa manière. Quoique je n’aille jamais à la messe, ce qui ne m’empêche pas par pa-