chacun de le vouloir ; car la République est comme une ruche immense qui ne se soutient et ne devient florissante que par le travail constant de tous ses membres, et dont les grévistes mettent en péril la prospérité, puisqu’ils arrêtent sur quelques points la marche du travail. Les malheureux ! Ils oublient cette grande vérité, vieille comme le monde : « Il faut vivre pour les autres, si tu veux vivre pour toi-même ». Et les premiers ils sont victimes de leur attentat à la solidarité humaine.
Mais à qui revient, je te le demande, la responsabilité du mal ? Aux instigateurs des grèves, les communistes et les anarchistes.
Crois-moi, mon cher Richard, tu es un ouvrier laborieux, rangé, économe. Tu mets chaque semaine quelques sous de