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À la fin de la soirée, je reçus des mains de la mère de M. X… un écrin.

Je l’ouvris plus tard.

Il contenait un collier de diamants, le même que je porte chaque soir à l’Alcazar.


IX


Depuis ce temps, il ne se passe pas une semaine sans que je reçoive une invitation à chanter dans le monde.

Mon plus grand orgueil serait d’inscrire à la fin de ce livre les noms des grands seigneurs qui ont bien voulu m’admettre à chanter dans leurs salons.

Mais le bienveillant lecteur comprendra que je n’ai pas le droit d’imprimer ici des noms qui n’appartiennent point à la publicité, et que la reconnaissance me fait un devoir de taire.


Une grande dame, un grand seigneur peuvent,