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VII


Théodore Barrière, lui aussi, est venu plus d’une fois à l’Alcazar.

Il m’a connue autrefois au boulevard du Temple, où il a habité pendant dix ans.

Alors il avait pour moi, quelquefois, des paroles d’encouragement.

Aujourd’hui il daigne venir m’applaudir.

Barrière est un esprit incisif, mordant !

Je me rappelle une histoire que j’aurais dû raconter dans mon esquisse du boulevard du Temple, mais qui trouvera encore sa place dans ce chapitre.


Alors le futur auteur de cent pièces charmantes venait souvent au café du Cirque, où il a trouvé, d’ailleurs, un des personnages des Faux Bonshommes, le notaire Vertillac.


Un soir, on vint prévenir Barrière qu’une dame l’attendait dans une voiture.