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Dans ma chanson On y va ! il y a un couplet sur les amours d’une bonne et d’un pompier.

Depuis que je chante cette petite chose, les pompiers m’ont prise en grande affection.

L’un d’eux me disait, l’autre jour, après ma chanson :

— Ah ! mam’zelle Thérésa ! tâchez donc de mettre le feu chez vous pour que j’aie l’honneur insigne de sauver votre mobilier !