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révélé l’existence d’un protecteur que je ne me connaissais pas.

Dans le Figaro du 22 janvier, M. de Villemessant, sans aucune invitation de ma part, a bien voulu reproduire ma lettre du Club, et l’accompagner de quelques lignes bienveillantes.

Je savais depuis longtemps que tout artiste est sûr de trouver, en M. de Villemessant, un défenseur désintéressé contre les injustices dont il peut être l’objet.

Que le directeur du Figaro reçoive ici publiquement mes remercîments.

J’ai réglé mon petit compte avec la presse, et si le lecteur veut bien accepter mon invitation, j’aurai l’honneur de l’introduire dans les coulisses de l’Alcazar.