Page:Valladon - Mémoires de Thérésa, 1865.djvu/285

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

s’était permis de protester contre le concours d’une simple chanteuse de café-concert.

Cette fois-ci, je n’avais pas affaire à un journaliste.

Aussi répondis-je à mon adversaire de la belle façon dans le Club, où je retrouvai deux anciennes connaissances, MM. Scholl et Langeac, ainsi que M. Wolff, que, peu de jours auparavant, j’avais vu pour la première fois.


Il faut que j’ajoute que M. Jules Prével, rédacteur en chef du Figaro-Programme, n’avait pas attendu l’apparition de ma réponse dans le Club, pour protester, dans son journal, contre l’inqualifiable sortie de ce musicien que je ne veux pas nommer, car j’aime mieux lui laisser le soin de faire connaître son nom au public.


XI


La publication de ma lettre dans le Club m’a