de moi : M. Henry de Pène, le courriériste de l’Indépendance belge, et directeur de la Gazette des Étrangers ; M. Henri Rochefort, l’étincelant chroniqueur du Figaro ; M. Ernest Blum, l’infatigable rédacteur du Charivari, et son spirituel rédacteur en chef, M. Louis Huart, M. Pierre Véron et tous les autres.
VIII
C’est à M. Maillard que je dois la bienveillance de M. de Pène.
M. Maillard est un des journalistes les plus répandus de Paris ; on le voit partout, à l’Opéra et au Casino-Cadet, aux Italiens et à l’Alcazar.
Il est constamment à la recherche de l’inconnu, et, en société avec M. de Pène, il a lancé plus d’une femme qui, grâce à ces deux écrivains, est arrivée à une réputation… bonne ou mauvaise.
IX
Un journal qui m’a été constamment hostile,