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nal, et j’y trouvai M. de Langeac, un homme du meilleur monde, un aimable écrivain, qui me reçut avec une exquise politesse.


Quelques instants après, M. Scholl survint. Je connaissais le directeur du Nain jaune comme journaliste et comme romancier.

Il me reçut avec une parfaite courtoisie ; et, dans le premier numéro qui suivit ma visite, se trouvait la lettre suivante :


V


« À monsieur le directeur du Nain jaune.


 » Monsieur,


» J’espère que le Nain jaune ne me refusera pas une petite place où je puisse me défendre contre des attaques injustes et violentes.

» Avez-vous, par hasard, entendu parler d’un journal appelé la Nation ?