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surprise de trouver dans ce journal un article de M. Albert Wolff, que je ne connaissais pas alors, et qui parlait de moi avec une extrême sympathie.

Cela me fit un plaisir extrême.


C’était la première fois que je voyais mon nom imprimé dans un journal ; aussi, j’adressai sur-le-champ à M. Wolff la lettre suivante :


II


« Monsieur,


» Voudriez-vous permettre à Thérésa, l’humble artiste de l’Alcazar, de vous remercier bien haut pour l’article bienveillant que vous avez daigné lui consacrer dans le dernier numéro de votre journal ?

» Certes, elle n’ignore pas combien peu elle mérite de tels éloges, mais laissez-la vous exprimer tout le prix qu’elle attache à faire mentir la