Page:Valladon - Mémoires de Thérésa, 1865.djvu/221

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE QUATORZIÈME


Le café Moka. — La rue de Lune. — Un mot de Darcier. — Un ancien appartement. — Le public de Moka. — Le bezigue et le domino à quatre. — Les petites industries en dehors. — La fleuriste. — Les bouquets en loterie. — Un trio célèbre. — Mme Marie Sax. — M. Michot. — Un mot d’Alphonse Royer. — Le véritable Conservatoire français. — Mlle Cico. — M. Berthelier. — M. Mermet. — Une histoire du temps jadis. — Musset, Monpou et Duprez. — L’Andalouse. — Ce que peuvent rapporter quinze francs bien placés.


I


Le café Moka, plus connu sous le nom de café de la rue de la Lune, était situé dans cette rue et donnait sur le boulevard Bonne-Nouvelle.

Il est démoli.

Pauvre Moka ! seul d’entre tous les cafés-concerts, il n’a pas su faire une grande fortune.