Page:Valladon - Mémoires de Thérésa, 1865.djvu/203

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

premier huissier, mais les autres furent moins gracieux et moins dilettantes.

D’ailleurs, les planches de l’Alcazar commençaient à céder sous mes pas. L’établissement était complétement discrédité dans l’opinion publique.

On m’offrit un soir un engagement à un café-concert de Lyon.

Le lendemain je fis ma malle, et je partis pour la seconde ville de France, sans faire une visite d’adieux aux nombreux huissiers qui m’honoraient de leur confiance.