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renfoncement où on peut la mettre. On peut même faire une petite pièce de ce renfoncement.

« Celui qui y était avant s’asseyait là, le soir, pour réfléchir, m’a expliqué le friturier. Je ne vous ai pas fait remarquer ça tout à l’heure… Je me suis dit : « Il a l’air intelligent, il le remarquera tout seul » ; puis, on ne peut pas tout dire en une fois ! »

Pour un petit cabinet comme ça, je crois que si. Mais je sais que j’ai l’esprit trop critique et que je cherche des poux où il n’y en a pas.

Pourvu qu’il n’y ait pas de punaises !… Ce n’est pas probable. S’il y en a, c’est deux ou trois tout au plus : Les autres ne pourraient pas tenir.


C’est que c’est l’exacte vérité ! Il n’y a que deux pouces de marge — et malheureusement je gagne beaucoup dans le lit.

Je suis forcé de recroqueviller mes doigts quand je veux être tout de mon long. C’est une habitude à prendre.

Le jour vient par une tabatière, qui s’ouvre en grinçant comme celle de Robert Macaire.


Je puis rentrer à l’heure où je veux. J’ai ma clef.

Je pourrai amener… Ô amour !

J’ai ce renfoncement où je n’ai qu’à méditer — pas autre chose ! et à méditer sérieusement et longtemps — car on ne s’amuse pas là-dedans, et c’est le diable pour en sortir.

Quand je n’ai que du pain pour mon souper, je