depuis surtout que les politiciens en ont arraché les « superstitions »…
Mais Jacques Valdour n’est pas toujours aussi grave, aussi sombre. Toujours vrai, il a des tableaux roannais pris sur le vif, parfois d’un réalisme truculent, et qui amuseront certainement nos lecteurs. »
(Journal de Roanne, 23 janvier 1910.)
« L’élaboration d’un ouvrage tel que celui de M. Jacques Valdour exige deux ordres de mérites bien distincts : une conscience minutieuse pour l’étude des faits observés, un sérieux talent de mise en œuvre pour l’utilisation et la présentation au public des documents recueillis. Quand un auteur, — et c’est, semble-t-il, le cas de M. Jacques Valdour, — possède à la fois ces qualités qui, sans s’exclure, ne se trouvent pas toujours alliées dans un même esprit, il arrive sans peine, sans effort, apparent du moins, à écrire le livre, si rare, qui donne la couleur, l’éclat, la vie, au sujet le plus austère. Pour parler en connaisseur, en homme véritablement informé de la vie ouvrière telle qu’elle est de nos jours, M. Jacques