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ii6 l’LUIE tT SOLEIL ’P^l^TO0iCIÎCE Arlequin au nez noir, Pierrot au masque blémc, Me font envie, et c’est mon intime souhait De vivre dans ce monde idéal et muet Où, comme dans le nôtre, on s’agite et l’on aime. L’un ou l’autre incarnant mon esprit inquiet. Je tournerais, dans un rôle toujours le même. Sur la pointe du pied, jusques au souffle extrême D’un orchestre jouant des airs de menuet...