Page:Valéry - Œuvres de Paul Valery, Vol 3, 1933.djvu/39

Cette page n’a pas encore été corrigée

Où filtrent les grands bruits pleins de bêtes puisées Dans les cages de feuille et les mailles de mer Par les moulins marins et les huttes rosées Du jour... Toute la peau dore les treilles d’air.