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Ç’que j’en dis, ç’n’est pas que j’m’en soucisse ;
Car cheux toi la pein’passe l’plaisir ;
Dans l’abord, ç’qu’un amant vient vous dire,
N’sart qu’à vous fair’rire ;
Et c’est ben l’meyeur.
Par après, il a l’himeur si douce,
Qu’à la fin ça l’pousse
Dans l’fin fond de d’not’cœur.
Scène XI
FANCHONNETTE, CADET.
Cadet.
Air : Ça n’se fait pas.
Eh ! ben, sœur, comment ça va-t-i ?
Fanchonnette.
Ben, Dieu marci.
Cadet.
Ça, voyons à quand la noce ?
Ç’jour-là, comm’des bourgeois, jarni,
Faudra t’aller t’en carrosse.
Fanchonnette.
T’iras donc à pied en ç’cas-là.
Cadet.
J’danse déjà,
J’danse déjà.
Air : De la Contredanse du Curé.
Y après l’pas’pied, l’All’mande,
L’cotillon s’demande.
(Il figure ceci grotesquement.)