Sans hésiter, la douleur qui te broie, N’est-ce pas, tu l’accepterais Pour que là-haut, de l’éternelle joie, Ton amour s’abreuve à longs traits ! Ô cœur navré, souffre donc en silence ! Ton deuil pourrait percer les cieux : Ne permets pas à ta douleur immense D’attrister ton ange joyeux.