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Et dépassant du front les plus hautes collines.
Mais je n’espère plus désormais te revoir,
Même à l’heure où vers moi tendrement tu t’inclines ;

Tu caches maintenant ton visage d’espoir
Et ton regard où luit la céleste lumière,
Sous l’apparence froide et grave du devoir.

Mais tu sais que mon âme est à toi tout entière,
Heureuse de t’avoir choisi comme Seigneur
Et sans cesse cherché dès son heure première,

Amour, vie éternelle et suprême bonheur.

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