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Parmi les astres des sommets,
Tu resplendiras désormais,
Heureux, bienheureux à jamais,
Ô toi que les dieux aiment !

Entre les plus nobles des preux,
Ils te proclament bienheureux ;
Vers un destin sublime
T’emporte ton ardent essor.
À quoi bon les joyaux et l’or ?
Le plus magnifique trésor,
C’est toi, cœur magnanime.

Ce soir-là, Curtius se jeta dans l’abîme.

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