Page:Urfé - L’Astrée, Troisième partie, 1631.djvu/741

Cette page n’a pas encore été corrigée

n’avois jamais esté, mais avec une extreme satisfaction de savoir que cette belle avoit appris à aymer, et que toutesfois ses affections n’est- oient plus employées, puis qu’Arimant estoit mort ; qui ne me donna pas une petite esperance de pouvoir parvenir à ce que je desirois.