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marry, il s’acquit non seulement la bonne volonté de ceux qu’il licencioit, mais de tous les autres solduriers, et au contraire la faisoit perdre à Amasis, qui n’estoit pas un petit advancement à l’execution du dessein qu’il avoit fait en soy-mesme, car tout ce qu’il ostoit à la nymphe par ce moyen, revenoit entièrement à son advantage.