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tez^que le Ciel d e main liberale refì pandoitsur ce bien-hettreux Pays> que tu arro zes de tes claires & wiues ondes, maii il faut que tu croyçs pour ma fatisfaBiony que s il me rejìoit encore quelque choſe aueclaquelleietepeu[Je rmeuxteſrejſentiment que tay des faueurs que tu rrìas faites, ie ſeri’isaufìi prompt a te la prefènter, que de bon cœur ïen ay receu les obligations & les contentemens : Et pour preuue dece queie des, ne pouuant te payer £<une monnoye deplushautprix y que dela meſme que tu m cvs donnée3iete vouë(djrte conſacrey omoncber LigNo n*touteslesdouces penjces, tous les amoureux ſouſpirs y & tous les deftrs plus ardens y qui durant njne ſaìfon fi heureu/e ont nourry mon ctme de fìdoux entretiensyquà iamais le ſouuemr en njïura dans mon cœur. Que fì tuas aufìi bien la memoire des agreables occupations que tu mcvs données>