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chose, et qu’il serait peu convenable d’en laisser tous les frais à ceux qui ont eu la délicatesse de vous inviter.

Soyez gais ! amusez-vous bien ; mais ne cessez pas d’être polis et distingués ! « Songez, dit A. de la Fère, qu’une personne distinguée ne marche, ne court, ni ne se mouche même, comme ceux qui sont mal élevés. »

« Tous les gestes, le maintien, la démarche, d’une personne comme il faut, sont différents de celle qui ne l’est pas. »