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le mousquet ; la fuite des habitants, la famine et la mort s’ensuivent. Et nous répétons ce que nous avons déjà dit avec une ferme conviction, qu’il n’est pas un cinquième des victimes de ces chasses, souvent même un dixième, qui arrive au lieu définitif de l’esclavage.
« En résumé, d’après les faits observés, nous affirmons hautement que la traite, quelque nom qu’elle revête, ne se recrute qu’au moyen d’une véritable chasse et oppose une barrière insurmontable à toute espèce de progrès[1]. »
Librecy, septembre 1890.
- ↑ L’Afrique Australe. Le Zambèze et ses affluents. Tour du Monde, 1866, 1er semestre.