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LETTRE ONZIÈME.
Albertine à Adèle.
Paris, 1er juin 18…
Ta dernière lettre, chère Adèle, se termine par un mais qui m’a donné beaucoup à réfléchir ; ce mais-là, sais-tu, en dit plus qu’il n’est gros.
Est-ce que, par hasard, le cœur de mademoiselle aurait bégayé son premier mot ? Est-ce que M. Lucien, investi des pleins pouvoirs du dieu Cupidon, serait le fortuné mortel destiné à la conquête de cette rose
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