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LETTRE TRENTE ET UNIÈME.


Albertine à Adèle.
Paris… août 18…

(Il nous serait impossible de mettre la main sur la réponse de mademoiselle Albertine à la lettre désolée de son amie ; elle devait renfermer, nous avons lieu de le supposer, toutes les consolations que les femmes se prodiguent en pareil cas, accompagnées sans doute de réflexions peu obligeantes sur les hommes en général et sur M. Lucien en particulier. L’imagination du lecteur comblera facilement cette lacune, très-peu importante du reste.)