Page:Un été à la campagne, 1868.djvu/167

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


LETTRE VINGT-SIXIÈME.


Adèle à Albertine.
B…, 20 juillet 18…

Il n’y a plus à s’en dédire, chère Albertine : à l’heure qu’il est, Lucien n’a plus rien à désirer.

Ah ! le monstre ! — monstre adorable, s’entend — comme il s’est vengé en une seule nuit des délais apportés à ce qu’il veut bien appeler son bonheur !

Tu m’as demandé, ma bonne chérie, une confession générale ; me voilà toute disposée à te satisfaire, mais je suis encore,