nière ; là, je m’enferme, et, sans perdre une
minute, je me mets à lire les œuvres secrètes
de ce mauvais sujet de Lucien.
Ce sont deux tableaux destinés à faire pendants. De l’un, chère Albertine, nous pouvons juger en toute connaissance de cause ; celui-là me plaît beaucoup, et si j’osais, j’adresserais des compliments à l’auteur sur la fidélité de son pinceau. L’autre est loin d’avoir mes sympathies ; je dois dire, du reste, que c’est une traduction ; cela nous arrive de la Rome antique, et se passait il y a deux mille ans. Espérons que les goûts ont changé depuis ce temps-là.
Le tout fera la matière de deux lettres que je t’enverrai le plus tôt possible. Tu verras, c’est curieux.
Madame est-elle satisfaite ? Trouve-t-elle ma lettre assez détaillée ? Ai-je bien mis le temps à profit ?
En attendant que tu répondes à ces ques-