la langue et la propagation de nos chefs-d’œuvre littéraires ont rangé la Hongrie parmi les pays les plus avancés.
Tous nous savons combien vous avez participé à ces travaux ; mon pays s’honore de votre concours, et votre nom sera cher à la patrie reconnaissante.
Habitant depuis longtemps un pays lointain, mes plus chères espérances ont toujours été pour la prospérité de ma patrie, et j’ai essayé de faire valoir à l’étranger ses incontestables mérites. Le modeste travail que je livre à la publicité n’est qu’un récit restreint de notre histoire, de notre langue et de notre littérature. Permettez-moi, Monseigneur, de vous offrir cet opuscule, et daignez l’accepter avec cette indulgente bonté qui caractérise toutes vos actions.
Votre bienveillant consentement sera pour moi
