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tant sans succès sur le dos. Tom le couvait des yeux, mais il était hors de son atteinte. D’autres fidèles, peu absorbés par le sermon, trouvèrent un dérivatif dans ce léger incident et s’intéressèrent au scarabée. Sur ces entrefaites, un caniche entra lentement, l’air triste et fatigué de sa longue réclusion ; il guettait une occasion de se distraire ; elle se présenta à lui sous la forme du scarabée ; il le fixa du regard en remuant la queue. Il se rapprocha de lui en le couvant des yeux comme un tigre qui convoite sa proie, le flaira à distance, se promena autour de lui, et s’enhardissant, il le flaira de plus près ; puis, relevant ses babines épaisses, il fit un mouvement pour le happer, mais il le manqua. Le jeu lui plaisait évidemment, car il recommença plusieurs fois, plus doucement ; petit à petit il approcha sa tête, et toucha l’ennemi avec son museau, mais le scarabée le pinça ; un cri aigu de douleur retentit dans l’église pendant que le scarabée allait s’abattre un peu plus loin, toujours sur le dos, les pattes en l’air. Les fidèles qui observaient le jeu du chien se mirent à rire, en se cachant derrière leurs éventails ou leurs mouchoirs ; Tom exultait de