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gomez arias.

dérer que la bonne opinion que vous avez de mes talens, n’est malheureusement pas une assez grande compensation pour les privations et les périls nombreux auxquels il faut se soumettre à votre service. Pour continuer la liste de vos…

— De mes torts ! dit Gómez Arias en l’interrompant.

— Je dis seulement de mes plaintes, reprit le valet. Ce que je déteste le plus, après votre amour du jeu, c’est votre profession militaire et la réputation que vous avez acquise par votre bravoure.

— Bonté, du ciel ! s’écria Gómez Arias, tu te plains de la qualité qui convient le mieux à un gentilhomme.

— Mais moi, je ne suis point un gentilhomme, observa Roque, et je ne sais trop pourquoi je serais exposé aux mêmes dangers que les héros, sans