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gomez arias.

CHAPITRE IV.

Poi la Victoria da quel canto stia,
Che vorra la divina providenza :
Il cavalier non havra colpa alcuna.
Ma il tutto impulterassi à la fortuna.

arioste.

Le lendemain fut un aussi grand jour, et le peuple goûta des plaisirs non moins vifs. La même pompe et la même cérémonie présidaient à la cour ; et les mêmes joutes eurent lieu dans les lices.

Néanmoins comme tout ce qui concernait le tournoi fut une répétition du jour précédent, une nouvelle description ne causerait point au passif lecteur le même plaisir qu’éprouvèrent