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TROIS PETITS POÈMES

Alors que son pénis dans la large matrice
Fait d’un foutre brûlant un second sacrifice.
Mais son vit rebandé charge un troisième coup
Pendant que Conouvert fatigue Foussicoup.

Ce terrible fouteur, dans sa rage amoureuse,
A saisi dans ses bras sa garce de baiseuse.
Il est debout. Ses mains lui soutiennent le cul.
Les pieds de la putain pressent son trou poilu.
A son cou qu’elle embrasse, elle se tient pendue ;
Et par un vit énorme elle est ainsi foutue.
Mais Foussicoup, lassé de la piner debout,
L’étend sur le gazon, la serre et la refout.

On voit non loin de là sur le tronc d’un vieux chêne
Onzepouce enfiler Petitcon avec peine.
Vingt fois, mais vainement, dans le génital trou
Il s’échine à pousser son prolifique bout :
Vainement il s’irrite : Il faut qu’il se soumette
A laisser hors du con le tiers de sa broquette,
Et craignant de casser ce charneux instrument,
On le voit dans ce con le branler doucement.
Petitcon cependant sur sa dure couchette
Faisait plus vivement remuer sa rosette,
Et pressant le gazon de ses talons crasseux,
A tous ses mouvements elle se livrait mieux.

Plus loin, contre un tilleul, Consale est appuyée.
A la hauteur du cul sa tête s’est pliée ;
Et par derrière ainsi la garce à Vibandant
Présente un clitoris tout noir et tout puant,