Page:Traité de paix conclu à Aix-la-Chapelle le 18 octobre 1748, 1750.djvu/4

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& Miniftres Plénipotentiaires de nos très - chers & grands amis les Etats généraux des Provinces-unies des Pays - bas , auxdites conférences , pareillement munis de leurs pleins - pouvoirs , le Traité de paix & les articles féparés dont la teneur s’enfuit.


Au nom de la Très Sainte et Indivisible Trinité, Pere, Fils, et Saint Esprit, ainsi soit il.[1]

Soit notoire à tous ceux qu'il appartiendra ou peut appartenir en maniere quelconque. L'Europe voit luire le jour, que la Providence Divine avoit marqué pour le retablissement de son repos. Une Paix generale succède a la longue & sanglante guerre, qui s'étoit elevée entre le Serenissime et Très Puissant Louïs Quinze, par la grace de Dieu Roy Tres-Chrétien de France et de Navarre d'une part, le Serenissime et tres Puissant Prince George second, par la grace de Dieu, Roy de la Grande-Bretagne, de France et de Irlande, Duc de Brunswic et de Lunebourg, Archietresorier et Electeur du Saint Empire Romain, et la Serenissime et Tres Puissante Princesse Marie Therese, par la grace de Dieu Reine de Hongrie & de Bohême, &

  1. Note WS : seul un extrait est retranscrit ici, pour le texte en entier voir le fac-similé