croire qu'on n'attendait que leurs talons pour se remettre au lit.)
Mariolles présente le monsieur:
--Ma chère amie, le comte de San Buscar. Vous avez dû apprendre mon mariage, demande-t-il.
--Certainement, mon cher ami. Toutes mes plus sincères félicitations.
San Buscar dissimule mal, sur sa grosse figure, en regardant Sylvère, cette pensée commune aux hommes qui rencontrent de nouveaux mariés: «Si je pouvais être le premier avec qui elle le trompera!»
--Vous venez de la chasse, Monsieur?
--Si, justement. J'ai été tuer quelques sarcelles sur la Nive.
Et, s'adressant à Mariolles, en ouvrant les bras:
--On prend ce qu'on trouve. Il n'y a pas de gibier dans votre pays, mon cher. Je voudrais que vous vissiez ça, dans l'Amérique: c'est une chose extraordinaire.
--Il y a peut-être moins de chasseurs. A