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C’est M. Puyoo, promu au doyenné de Sainte-Marthe, d’où il espérait bien, à travers la politique, se pousser plus haut, qui tâchait, en don de joyeux avènement, d’inspirer à tous la joie et la clémence.

Il aurait eu peut-être de la peine à convaincre son prédécesseur aujourd’hui prêtre attaché à la cathédrale de Navarrenx. C’est là que M. Cassoubieilh, bercé de l’espoir d’un canonicat à la première vacance, était en train d’aigrir cette facile bonté, la seule vertu, peut-être, qu’il eût apportée dans son ministère.

Ainsi ce n’était pas lui qui bénirait l’anneau nuptial de Guiche : pas même celui de Mlle de Lahourque. La cérémonie, quant à cette dernière, promettait d’en être magnifique. N’avait-elle pas écrit à la titulaire du bureau qu’elle ne voulait plus gérer, « que ce mariage soudait en quelque sorte l’aristocratie de la naissance à celle du travail ». Ainsi s’essayait-elle à peindre ce sacrifice qu’elle allait faire de sa particule.