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— Il vous plaît beaucoup, Guiche, M. de Cérizolles.

— Assurément.

— Et….. voilà tout ?

— Oh ! mon Dieu, oui, n’est-ce pas assez ? Je me l’imagine comme un bon camarade, un camarade qu’on aimerait beaucoup. Ça ferait plaisir de l’avoir sous la main…..

Elle rabaissa sur ses yeux ses paupières en forme de feuille et ajouta :

— Je ne sais pas moi : de l’embrasser….. de prendre son tub devant lui. Tandis qu’avec….. je veux dire devant un homme que j’aimerais, que j’aimerais dans mon cœur, il me semblerait sans cesse que je ne suis pas assez vêtue.

— Ah ! soupira la notaresse, cela ne s’invente point.

— D’ailleurs, il se soucie de moi comme un cocher d’un paire de socques. C’est Clarisse qu’il courtise. Oui, courtise n’est pas trop fort ; et toutes les fois que je vois la tête à Wolfgang, je me dis combien je vou-