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Ribamourt, avait été longtemps réprimée par des cadres sociaux rigides ; plus tard par l’influence conciliée du Patronat et du Clergé. Mais ces deux forces, la seconde surtout, ont été, à Ribamourt comme ailleurs, peu à peu mises en question de divers côtés ; attaquées par un calvinisme qui applique à la politique les procédés de sa rigoureuse hypocrisie religieuse, châtiées par les lois, et, d’autre part enfin, traitées par La Corde de Toulouse, le Petit Conseiller de Bordeaux, et autre presse « à responsabilité limitée » ainsi que s’expriment les prospectus de Finances, traitées comme un libre-penseur ivre fait avec joie d’un mur d’Église. Les Part-Prenants de Ribamourt, abstraction faite une fois pour toutes des gens payant l’Impôt qui en faisaient partie, offraient aujourd’hui, à la première main sale venue, toutes les prises d’une masse populaire. Mais le chef-d’œuvre d’ailleurs involontaire de leurs meneurs fut de persuader à ces ardents fauteurs de privilèges qu’ils étaient