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l’église d’un village voisin ; heureux et fier d’une union qui fut l’ouvrage de sa prudence et de son désintéressement, il est demeuré notre plus constant ami. Jacques m’a accompagné dans ma condition nouvelle ; et mon parrain, mort deux ans après, sans m’avoir pardonné, a partagé ses biens entre des parents moins fortunés que moi. Je finis, lecteur ; m’aurez-vous suivi jusqu’au bout ? Pour moi, je me le suis figuré, et c’est pourquoi j’éprouve tant de regret à vous quitter.
FIN DE L’HÉRITAGE.