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« L’été fini, adieu les fraises ! » Il s’agit maintenant de ne pas laisser partir les fils uniques.

— Ce n’est pas pour leur plaisir qu’ils se sont séparés : pourquoi donc à présent les ruiner ? firent plusieurs des intéressés, auxquels se joignirent les bavards.

— Mais toi, tu peux bien t’acheter un remplaçant, si tu veux ; tes moyens te le permettent ! dit Bezoun à Doutlov.

Doutlov croisa son caftan avec désespoir, et rentra dans les rangs des moujiks.

— Tu as probablement compté mon argent, dit-il en colère. Mais attendons Egor Mikhaïlovitch ; il nous fera part de la décision de la barinia.