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Vous me faites l’honneur de me demander mon opinion sur la thèse soutenue par le comte Léon Tolstoï au sujet de la consommation des excitants et des narcotiques.

La note ajoutée à la fin de l’étude de Tolstoï par M. Charles Richet me met à l’aise pour formuler mon opinion : Tolstoï soutient un paradoxe[1].

Dans tout paradoxe il y a une portion de vérité.

  1. M. Charles Richet, directeur de la Revue scientifique, avait reproduit dans sa revue l’article de Tolstoï sur « l’Alcool et le Tabac » en l’accompagnant d’une courte remarque. C’est à cette remarque que M. de Lapommeraye fait ici (et plus loin M. de Quatrefages) allusion.