Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/277

Cette page n’a pas encore été corrigée

rnorusstox un rer 207 r commandements envers Dieu, envers son prochain et envers soi·meme, y sont exposées. Si étrange que cela paraisse, j’ai dû, après dix-huit siècles, découvrir ces régles comme ` une nouveauté, et ce n’est qu’apres les avoir comprises que j’ai compris du même coup la doctrine chrétienne. ‘ Ces règles embrassent si complètement la vie de chaque individu que, si l’homme s’en tenait à leur application, le royaume de la vérité règnerait sur la terre. Si on les exa- 'mine ensuite séparément, on s’aperçoit que ce résultat si immense, si heureux, provient de Paccomplissement des règles les plus simples, les plus naturelles, les plus faciles et les plus agréables à suivre._ Et lorsqu’on réfléchit à. ce qu’il faudrait y ajouter pour atteindre ce but, on ne trouve rien. Impossible aussi de nier l’une d’elles, sans que le royaume de la vérité en soit menacé.