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, é i · t ` rnonnssiop nu roi ess les proteger, ne dois—je pas prendre leur _ défense, au risque même d‘etre obligé de · recourir à la force? Dois·je demeurer dans ` cet etat, meme si l’ou tue ou si l’on torture devant moi des etres humains? ` Non, on nc doit pas employer la /'or·c0 " pour .s·ecom·ù· et dé/`c1zd2·c_ ses .s*cmb!czbI«·s. parce que lc bien ne peut ètre accompli ii l’aide de la violence, c’est-à-dire du mal. Cher ami, je vous en supplie, au nom du Dieu dela vérité, que vous adorez, ne vous emportez pas, ne cherchez pas à. m’opposer z des preuves de vos convictions avant d’av0ir L modité, non pas ce que je vais vous écrire, mais l’Evaugile, et non pas l’Evangile en tant que parole de Dieu on du Christ, mais l’Evan· 5 gile considéré comme la doctrine la plus nette, la plus simple, la plus compréhensible et la plus pratique sur la façon dont les hommes doivent vivre. Que dois-je faire si, devant mos yeux, une ~