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est rmusuts cnuiihs l’autre dans une compagnie tout aussi funeste. Ce débauche imaginaire, je ne m’eil`or· v cerais meme pas de dévoiler sa turpitudo devant mon enfant. Il faudrait que celui-ci la découvrit par lui·meme. Mon role, a moi, serait de remplir sa jeune ame de préceptes assez efficaces pourlo préserver des tentations. En agissant autrement, i je perdrais inutile- ment mes peines. Ce n’est ni vous, ni moi, ni tel autre que j’exposerais ainsi à la corruption, c’est cette précieuse petite lueur qui risque- rait fort de s’éteindre, dans Popaisseur des ténèbres qui nous environnant. - Cette digression me fait approcher, sans m’en apercevoir, de la seconde et principale question de votre lettre: Comment alors éclairer les hommes et les préserver des tentations de la débauche, quand nous en sommes empêchés par la via lenee P Comment arriver à la réalisation de la doctrine évan- · gélique? Si des hommes meu demandent de