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Ensuite ces moments de perplexité se renouvelèrent toujours plus fréquemment sous la même forme.

Ces arrêts de vie se manifestaient toujours par les mêmes questions :

— Pourquoi ?

— Et quoi après ?

Il me sembla tout d’abord que ces questions venaient sans but et sans à-propos. Il me parut qu’elles étaient déjà connues et que, si je voulais un jour m’occuper de leur solution, cela me serait très facile, que le temps seul me manquait pour le faire et qu’aussitôt que je le voudrais j’étais sûr de trouver les réponses. Mais les questions commencèrent à se répéter toujours plus souvent ; elles furent de plus en