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ne payait pas. Gagnait-il ? il empochait. Il était tout de même assez brutalisé parfois… Pourtant, il allait toujours bras-dessus bras-dessous avec le prince.
— Toi, lui disait-il, tu serais perdu sans moi.
Il était plaisant. Enfin, c’est bien. Ils arrivent et ils disent :
— Nous allons jouer à la guerre à trois.
— Allons.
On joue à trois roubles la partie. Nekhlioudov cause de choses et d’autres avec le prince.
— Hein ! dit le prince, quel petit pied elle a ! Mais son pied n’est rien. Quelles nattes !
Il va sans dire qu’ils ne regardent pas le jeu et causent toujours entre eux. Fedotka en profite pour arranger ses affaires. Voilà qu’il a déjà gagné six roubles à chacun d’eux.
Dieu sait quels comptes il a avec le